[... Extrait de l'article ...] Vingt jours après la catastrophe qui a bombardé toutes les maisons et tous les immeubles des quartiers de la route de Seysses, route d'Espagne, avenue de Muret, Croix-de- Pierre, la rue Bernadette a momentanément fermé ses volets - lorsqu'ils n'ont pas été brisés par les chocs - sur ses fenêtres béantes. Vingt jours après le drame, seules quatre à cinq maisons sont encore habitées. « J'en ai construit trois dans la rue dans les années 60 et ce sont celles qui ont le moins souffert » raconte Guy Ferriès qui travaillait sur un chantier, à l'extérieur de Toulouse, lorsque le drame s'est produit. UNE BOMBE A LANGLADE « Lorsque je suis arrivé, c'était un désastre, une vision de bombardement, il y avait des gens blessés assis sur les trottoirs [...]
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